Nom : Tucker
Prénom : Hazar (oui oui c’est feminin et oui ça existe)
Surnom : Haz’, Hazzie et autres en tant que Femme, sinon elle se fait appeler Köra (Pulsion en suédois, pardon pour la coincidence avec Korra) en homme
Âge : Vingt-sept ans
Origine : Anglaises et Suédoises

Études/métier : Vendeuse dans un magasin de vêtements (mais tente de trouver autre chose) et membre du Chaos
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle

Groupe : Joker

Pouvoir/particularité Communication électronique : comme son nom l’indique, ça lui permet de communiquer mentalement via des objets électroniques tels la télévision, la radio, les ordinateurs, les téléphones etc. Autant d’apparaître à l’écran que textuellement ou encore de manière audible. Elle peut projeter ce qu’elle veut. Pareil, elle peut intercepter les ondes de ces mêmes outils, voire de les bloquer, de les rediriger, de les supprimer, de les déchiffrer... Bref, tout ce qui se porte aux ondes électroniques. Cependant, parce qu’il y a un mais, elle n’a pas encore atteint ce niveau de maîtrise, et en est encore loin. Eh oui, tout ça c’est dans ses projets seulement. Elle n’est pas capable pour l’instant d’envoyer son image en plus de sa voix sans qu’elle ne soit horriblement floue, le son presque inaudible. Autant dire que c’est inutile pour le moment. Ensuite, elle ne peut envoyer qu’un certain nombre de Ko sur un portable, téléphone etc. Ce qu’elle maîtrise le mieux, c’est de communiquer en parlant via la radio. Les inconvénients sont que si elle tente de faire trop de choses à la fois ou de dépasser ses limites, des migraines peuvent survenir. Pas de simples maux de tête. Elle en est d’ailleurs sujette depuis la première fois que son pouvoir s’est manifesté. De plus, il faut savoir qu’elle peut intercepter sans le vouloir des ondes, à n’importe quel moment. Surtout là où elles sont le plus concentrées. Capter la radio ou des appels téléphoniques dans la rue, ce n’est pas de tout repos.
Quant à une particularité plutôt importante, elle se déguise en homme, notamment en présence du Chaos, dont elle cache (sauf à ses supérieurs) son véritable sexe et se fait passer pour tel. Pour se faire, elle porte des vêtements plutôt épais, style uniforme, ainsi qu’un masque qu’elle s’est faite elle-même.
Sinon, elle mange très peu, parfois pas. N’est même pas gourmande. Elle se lave les cheveux tous les jours. Elle utilise toujours la même marque de crème pour le corps. Elle a besoin de sept heures de sommeil. Elle attrape souvent des rhumes, même en été. Elle se lave toujours à l’eau très chaude même dans cette saison. Elle a un poussin chez elle.

Look at you : Quand on la connait en tant que Hazar, on voit une femme fragile de par son corps fin. Tout ceci, à première vue. Si sa finesse n’est en réalité qu’une maigreur, elle n’en est pas moins forte quand même. Non, elle ne pratique pas les arts martiaux. Non, elle ne possède pas la force de Hulk dans ses bras frêles. Juste qu’elle a la hargne. Une rage de vaincre qui fait que tous les moyens sont bons, et ce, jusqu’à ce qu’on l’assomme ou l’achève. Autant dire qu’elle ne se laisse pas faire, alors ne vous fiez pas aux apparences, bien que vous ne risquiez que des morsures, griffures, crêpages de chignon, elle n’a pas peur de faire mal, ni de se faire mal.
Du haut de son mètre soixante-et-onze – quand même assez grand pour une femme– elle n’a pourtant pas la taille mannequin. Ce n’est pas avec son poids et sans chirurgie esthétique qu’elle héritera d’une poitrine conséquente. Pour ses mensurations, on passera les détails, mais disons qu’elle en a des légèrement plus petits que la normale, restes de sa grossesse. Pour leurs formes, on va éviter d’en parler ici, mais pas de gants de toilettes pour elle.
Pour ce qui est de ses fesses – continuons sur notre lancée – elles sont quand même bien arrondies. A croire que le peu qu’elle mange se stocke ici. Ses hanches sont plutôt développées, bien qu’en fait pas tellement en comparaison avec d’autres femmes, mais par rapport à sa taille élancée.

Sa peau claire, sans être d’une pâleur à vous glacer le sang Dieu merci, rappelle celle d’un dragée. Cheveux coupés courts, elle les laisse faire ce qu’ils veulent, sans pour autant ressembler à un épouvantail (elle se coiffe, quand même). De couleur noir corbeau, ils font ressortir ses yeux bleus, légèrement cendrés, qui expriment l’amertume, la mélancholie et la colère avec une facilité déconcertante. De forme plutôt arrondis, ils sont ornés de longs cils qu’elle ne maquille qu’avec du mascara et une touche de crayon. Elle n’en fait pas des tonnes, et préfère même parfois rester au naturel, sans tous ces cosmétiques. Ça ne l’empêche pas pour autant d’utiliser de la crème pour le corps, d’où sa douceur, ou du déodorant. Vous me direz que vous êtes rassurés. Mais elle n’est pas du genre à s’attarder dans la salle de bain, ni à aimer faire les magasins. Sa garde-robe n’est pas très grande, et possède tout ce qu’il faut. T-shirt, jeans, jupes, robes. Elle prend ce qui lui tombe sous la main, vu que tous ses vêtements lui plaisent. Alors à quoi bon s’embêter ?
Quant à sa démarche, il faut savoir qu’elle ne baisse jamais la tête. Au contraire, elle la garde haute, mais reste indifférente au regard des autres. Adoptant plutôt la marche rapide, elle ne se calque jamais sur celle de quelqu’un d’autre, quitte à ce qu’il reste à la traîne.

Ça, c’était la partie Hazar. Köra est très différent. Déjà par le fait non négligeable que c’est un homme dont on croit qu’il possède une musculature plutôt importante. Bien sûr, là-dessous se cache un phasme, alors malgré ces vêtements épais, on ne croirait jamais à un bodybuilder. Köra porte donc un masque, déjà pour cacher son physique féminin, mais plus particulièrement pour des raisons plus personnelles. Comme celles de le revêtir volontairement pour se sentir en confiance, forte, puissante, insensible. Inconsciemment, c’est peut-être une crainte, une part d’elle-même qu’elle peine à refouler. Mais ce n’est pas le sujet.
Sa veste qui rappellerait celle d’un uniforme militaire sans doute, sombre, est ornée d’épaulettes, pour cacher notamment sa faible carrure et se donner un style, aussi… Pas de col habituel, mais plutôt une capuche, tête et cou trop féminins. Pantalon de la même couleur, bouffant au niveau des longues bottes noires lui arrivant sous les genoux. Pour dissimuler ses doigts fins, elle porte des gants plutôt épais, faisant penser que Köra possède des mains réellement viriles.
De sa manière de se tenir –mains croisés dans le dos, même quand il marche - et de son calme légendaire, se dégage alors une carrure et une prestance assez imposante.

Spoiler:

Deep in your mind : Hazar est une femme encline à la dépression. Ayant subie une perte non négligeable et n’ayant pas encore fait le deuil, elle se laisse aller aux pleurs quand elle est seule chez elle. Malgré tout, cela ne signifie pas qu’elle craque tout le temps, du moins, plus depuis qu’elle s’est trouvée une occupation. Le groupe Chaos. Là, elle peut être ce qu’elle rêve d’être : Köra. Elle peut laisser libre court à ses pulsions sans crainte, sans culpabiliser. Parce que oui, dès qu’elle retire son masque, elle est Hazar. Rien d’autre. Elle préfère oublier le Chaos, oublier Köra. Elle redevient la jeune femme solitaire. Mais cependant loin d’être asociale. En apparence. Parce qu’elle ne fait pas confiance aux gens. Elle éprouve même une haine profonde envers eux. Mais ça, elle le laisse pour Köra. En étant lui, elle exprime ses plus viles intentions, ses pulsions sadiques, sexuelles, tout. Pas de place pour la compassion ni la pitié. Hazar, elle, est plutôt celle de la seconde chance, bien qu’elle ait perdu la foi. L’espoir. Malgré tout, c’est une battante. Car même si elle s’est laissée allée, même si elle semble faible, elle ne renonce jamais, et ce même si elle dit que tout est perdu d’avance. Se bat elle pour des idéaux inaccessibles ? Croit-elle en l’impossible ? Sûrement. Elle ne cessera jamais de rêver.
Parfois indécise sur certaines choses, elle sait quand même la plupart de temps ce qu’elle veut, et fera tout pour l’avoir. Que ce soit futile ou non. Obstinée, têtue, elle n’en reste pas moins quelqu’un qui écoute l’avis des autres. Quant à sa tolérance, mieux vaut ne pas en parler. C’est un sujet plutôt paradoxal.

Sujette aux migraines à cause de son don, elle peut parfois être irritable, mais préfèrera dans ces cas-là s’isoler. S’énerver contre les autres et créer des disputes n’étant pas son truc.

Toutefois, Hazar n’est, contrairement à Köra, une personne d’apparence froide. Légèrement distante et réservée, elle lance rarement les sujets de conversation, mais peut beaucoup parler quand elle est lancée (à croire que c’est le lot d’une femme). Même assez douce, sa voix n’est pas portante du tout, et ne vire pas aux aigües. Köra, lui, parle peu, mais derrière son masque, elle arrive à modifier sa voix pour imiter celle d’un homme. Bien qu’il se contente souvent du nécessaire syndical, simple et efficace du hochement de tête maîtrisé.
Que dire d’autre. Tellement de choses. Probablement que c’est une personne qui se pose toutes sortes de question, qui est plutôt perdue, en recherche de son identité. On peut s’en faire une amie, mais rarement une ennemie. Bien qu’elle soit plutôt hypocrite et menteuse, elle ne parle pas dans le dos des autres. Puisqu’elle ne se confie tout simplement pas, et préfère rester en retrait. Pour Köra, c’est la même chose. Mystérieux, il préfère tenir le rôle d’observateur, bien qu’il souhaite plus que tout maîtriser son pouvoir pour être plus utile au Chaos. Il faut dire que son image sur un écran et ses qualités d’orateur pourrait les rendre plus important encore.

Petit avertissement : les enfants, les femmes enceintes et tout ce qui s’y rapporte sont sujets tabous pour elle. Autant dans une conversation que dans la vraie vie. Vous ne la verrez jamais s’approcher d’une école ou avoir une femme enceinte dans son cercle d’amis.

Je suis née dans la famille Tucker, d’un père Anglais et d’une mère Suédoise. A ce qu’ils m’ont dit, ils se sont rencontrés en Suède, parce que mon père y travaillait. Ils y sont restés plusieurs années avant que ma mère tombe enceinte de moi. Ils ont donc décidés de revenir en Angleterre pour diverses raisons. Il faut dire que mes parents aiment voyager. J’ai donc subi plusieurs déménagements durant mon enfance et mon adolescence. J’ai donc pris conscience que les relations étaient éphémères. La notion d’amitié est quelque chose qui me fait sourire gentiment. Je crois qu’à un certain stade, l’autre ne s’attache pas vraiment à vous. Ou peut-être est-ce moi qui ne m’attachait pas aux autres. Pour ne pas en souffrir à chaque départ, je ne sais pas. Les relations que j’entretiens et que je crée avec les autres me conviennent parfaitement et m’ont toujours convenus. Il faut dire que je n’avais un grand frère, mais l’écart étant trop important, j’ai appris à jouer, à m’occuper seule. Cette solitude ne m’a pas vraiment gênée, bien que je souhaitais que mes parents fassent un autre enfant. Ce qui ne fût pas le cas, malheureusement.

Ma vie ensuite était pour ainsi dire, normale. Banale, même. Avec ses hauts et ses bas, l’âge bête, les conflits, les joies, les peines, tout ce qui s’en suit. Cependant, j’ai toujours eu une bonne éducation. Mes parents ont toujours été là pour moi. Enfin, jusqu’à un certain point… Mais j’y reviendrai.
J’ai fait des études pour faire de l’informatique. Tout se passait bien au début, puis j’ai commencé à avoir des migraines très douloureuses de plus en plus fréquemment. Je croyais être allergique aux ondes magnétiques, comme ça peut arriver à certains, mais ce n’était pas ça. Je l’ai découvert le jour où, énervée contre mon patron suite à une petite erreur que j’avais commise et dont il m’avait fait le reproche comme on parle à un chien – et encore – j’ai déversé ma colère dans mon bureau. Et sans que je ne sache comment, toutes mes pensées avaient été envoyées sur son ordinateur. Je me souviens avoir saigné du nez et m’être évanouie. Le lendemain, j’étais virée, évidemment. Cet échec était pour moi une honte immense, c’est pourquoi je n’étais pas retournée vivre avec mes parents. Je préférais tenter de retomber sur mes pieds en cherchant moi-même un nouveau travail. De plus, tout le monde m’a toujours dit que je l’avais cherché. Mais je ne maîtrisais pas encore mon pouvoir, et ne savait même pas que c’en était un.
Puis j’ai commencé à capter les ondes radios, à communiquer via certains objets, même pour quelques mots, autant écrits qu’avec ma voix. J’ai préféré ne jamais rien dire à mes parents. Et c’est toujours un secret pour eux.

Enfin, j’ai rencontré un homme. Steeve. Avec qui j’ai eu une relation qui a duré trois ans. Nous nous sommes installés ensemble au bout de huit mois, et désirions un enfant. J’avais retrouvé du travail entre-temps, fort heureusement. Nous avions essayé beaucoup de fois, pendant des mois, jusqu’à ce qu’enfin, je tombe enceinte. A cette époque, je ne peux exprimer la joie et le bonheur que je ressentais. Je le voulais tellement. Je l’avais toujours désiré. C’était un petit garçon. Abel. Cependant, je n’ai jamais connu le plaisir de le prendre dans mes bras. Je l’ai perdu. J’ai perdu mon fils, mon Ange. Je n’en avais rien à faire de ce que disaient les médecins. Qu’il soit né prématurément, je m’en fichais. Ils ne m’ont même pas laissés le porter. Tous l’ont touché, moi jamais. Je leur en ai toujours voulu. Et je leur en veux encore. Les médecins, ma famille, mon conjoint. Personne n’a compris ma peine, ma douleur. On me disait que j’en referai d’autres. Mais je ne m’en sentais pas capable. C’était Abel que je voulais, et personne d’autres. Je suis tombée en dépression, je crois que j’ai négligé Steeve, puis il m’a quittée. Mais je ne l’aimais plus. Seul Abel comptait pour moi. Et il comptera toujours. Ils m’ont laissé tomber, tous autant qu’ils sont. Mais je ne leur ai pas gardé rancune. Du moins en apparence.

Puis j’ai rencontré le Chaos. Ainsi que Köra. Je peux vivre à travers lui depuis un an déjà. Je me sens bien quand je joue le role de Köra. Non, je suis aussi Köra. Sauf que dans la société, je dois être Hazar.

Rang personnalisé : Poussin Hazardeux

Avatar : Fuyumine Naoto de DOGS Bullets&Carnage – Amon de Avatar : The Legend of Korra

Comment as-tu connu le fofo : Par partenariat !

Règlement : quelle est la taille des avatars ?
Règlement : combien de mots dans les rp ?

Quelque chose à ajouter ? Piou piou, j’espère que vous avez des graines et des noix \o/